Ma vie a changé un matin alors que
j'ouvrais mon courrier. Une lettre anonyme m'apprenait que ma mère avait commis
un crime trente-cinq ans plus tôt. L'auteur de cette lettre me donnait
rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore et m'ordonnait de
ne parler de cette histoire à personne. J'avais enterré Maman à Londres au
début du printemps ; l'été s'achevait et j'étais encore loin d'avoir fait mon
deuil. Qu'auriez-vous fait à ma place ? Probablement la même erreur que moi.
Eleanor Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à
Londres. Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui
apprenant que sa mère a eu un passé criminel. George Harrison est ébéniste, il
vit dans les Cantons-de-l'Est au Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme
accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor Rigby et George Harrison ne se
connaissent pas. L'auteur des lettres leur donne à chacun rendez-vous dans un
bar de pêcheurs sur le port de Baltimore. Quel est le lien qui les unit ? Quel
crime leurs mères ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses
intentions ? Au coeur d'un mystère qui hante trois générations, La Dernière des
Stanfield nous entraîne de la France occupée à l'été 44, à Baltimore dans la
liberté des années 80, jusqu'à Londres et Montréal de nos jours.
Editeur : Pocket
Date de parution : octobre 2018
Mon avis
J’ai eu du mal à me plonger dans ce roman, il me manquait
cette petite chose qui fait qu’on ne veut plus quitter le livre pour connaitre
la suite.
Mais j’ai résisté et continué , j’ai eu bien raison
Arrivé au tiers du roman, les évènements s’enchainent et le
suspens et présent, à ce moment il était hors de question de l’arrêter, les
personnages sont attachants et l’histoire est bien construite pour nous amener
une belle fin
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